Le Schuman Network est une initiative lancée en novembre 2023 par la Fondation Robert Schuman, qui œuvre à promouvoir le partage d'idées à l'échelle européenne. Fort de ses 19 membres venus de 11 pays européens, le Schuman Network est un espace de mise en commun de recherches sur des questions d'actualités européennes. Depuis son lancement, une soixantaine d'études a été publiée sur le site du réseau.

Plus que jamais, l'Europe a besoin de vous ! Face à l'agression russe en Ukraine, l'Union européenne a réagi avec unité et célérité. Soutenir la Fondation Robert Schuman, c'est accompagner son action de recherche, lui permettre d'être une force de propositions innovantes, un espace de dialogue pour une Europe prospère et puissante.

Du 6 au 9 juin, les Européens sont invités à élire 720 députés européens pour les cinq prochaines années. La Fondation propose un site internet pour mieux comprendre le scrutin et ses enjeux, et suivre la campagne avec les listes en présence et les programmes de tous les partis dans chaque État membre.

Afin de répondre aux conséquences économiques et sociales de la pandémie de Covid-19, l'Union européenne a mis en place un fonds de relance de 672,5 milliards €. Le 12 mars, la Commission a approuvé une évaluation préliminaire de la deuxième demande de paiement de 122,3 millions €, de l'Estonie. La Fondation vous propose une carte interactive des plans pays par pays, pour en connaître les montants et les calendriers.

La Commission a recommandé le 12 mars l'ouverture des négociations d'adhésion avec la Bosnie-Herzégovine. Son rapport fait état des progrès réalisés par le pays dans l'accomplissement des réformes, notamment sur l'Etat de droit, et estime que la Bosnie-Herzégovine a atteint un niveau satisfaisant de mise en conformité avec les critères d'adhésion à l'Union. La Commission a également proposé les cadres de négociation - lignes directrice et principes - pour l'adhésion de l'Ukraine et la Moldavie, qui seront présentés au Conseil .

La Commission a proposé le 15 mars de réviser la Politique agricole commune (PAC). Le texte lève notamment l'obligation de ne pas cultiver une partie des terres. Ceux qui pratiqueront le mise en jachère pourront toutefois bénéficier d'une prime. En outre, les agriculteurs pourront choisir entre la rotation de leurs cultures ou la diversification, ce qui aidera ceux touchés par les sécheresse ou les inondations à se conformer aux obligations de la PAC. Les agriculteurs bénéficieront aussi d'une plus grande flexibilité pour mettre en œuvre les obligations de couverture des sols en périodes sensibles. Et les exploitations de moins de 10 hectares seront dispensées de contrôles et de pénalités liés à leurs obligations environnementales.

La Commission a alloué le 15 mars les 500 millions € prévus à la production de munitions (ASAP). Ce règlement vise à aider l'industrie européenne de la défense à atteindre une capacité de production de munitions de 2 millions par an d'ici 2025. La Commission incite aussi les États membres à acquérir conjointement des capacités de défense avec les 310 millions € de l'instrument de renforcement de l'industrie européenne de la défense au moyen d'acquisitions conjointes (EDIRPA) et dépensera 1,1 milliard € dans la recherche et le développement à travers le Fonds européen de la défense (FED).

Les députés européens ont voté le 13 mars en faveur de l'interdiction de produits chimiques nocifs dans les jouets, en particulier les perturbateurs endocriniens. Le 12 mars , ils ont adopté l'accord conclu en trilogue sur la responsabilité du fait des produits défectueux. Le texte vise à aider les consommateurs européens à se faire indemniser lorsque des dommages ont été causés par des produits défectueux.

Le 12 mars, les députés européens ont adopté les accords conclus en trilogue sur la directive et le règlement relatifs aux émissions industrielles. Les industries et les exploitations d'élevage concernées auront des objectifs de performance environnementale à respecter, telle que la consommation d'eau et la gestion des déchets. En cas d'infraction grave, des sanctions d'au moins 3 % du chiffre d'affaires des organisations concernées seront appliquées par l'Union.

Les députés européens ont adopté, le 13 mars, la réforme le code européen des douanes. Cette réforme a pour but de moderniser le code afin de l'adapter à la croissance du commerce en ligne, ainsi qu'aux nouvelles normes, interdictions, obligations et sanctions introduites par l'Union ces dernières années, telles que les règles plus strictes pour lutter contre la "fast fashion".

Le 13 mars, les députés européens ont adopté la loi qui vise à protéger les médias et les journalistes contre les ingérences politiques et économiques. Cette réglementation interdit toute forme d'intervention des États membres dans les décisions éditoriales des médias, ainsi que toute forme de pression sur les journalistes. Par ailleurs, les États membres doivent dorénavant garantir une sélection transparente et non discriminatoire des dirigeants des médias publics, afin de garantir qu'ils ne soient pas utilisés à des fins politiques.

Le 13 mars, les députés européens ont approuvé un accord trouvé avec le Conseil sur le règlement concernant l'intelligence artificielle (IA Act). Ce règlement interdit notamment les applications basées sur l'exploitation d'images faciales sur Internet ou par vidéosurveillance, ainsi que la notation sociale en entreprise et à l'école via la reconnaissance des émotions. L'IA manipulant les comportements humains est interdite et l'identification biométrique ne pourra être utilisée que dans des conditions strictes, notamment en cas de prévention d'attaques terroristes. Enfin, les systèmes d'IA à haut risque devront strictement rester transparents et sous supervision humaine, en raison des dégâts qu'ils pourraient causer aux infrastructures et aux services vitaux.

Les députés européens ont adopté, le 13 mars, l'accord conclu avec le Conseil sur le règlement Euro 7. Ce règlement vise à réduire les émissions de gaz à effet de serre des transports routiers. Ils se sont prononcés le 12 mars en faveur d'une circulation facilitée des "méga-camions" mesurant jusqu'à 25 mètres de long, et pesant jusqu'à 60 tonnes malgré des craintes sur leur impact en matière d'environnement, de sécurité et de concurrence avec le fret ferroviaire.

Les 27 ministres de l'économie et des finances, réunis le 12 mars, ont évoqué les effets positifs des réformes et des investissements sociaux sur la croissance économique et la viabilité budgétaire, ainsi que de la facilité pour la reprise et la résilience (FRR), à laquelle ils souhaitent donner un nouvel élan politique pour le reste de la période de sa mise en œuvre. Ils ont débattu des conséquences économiques et financières de l'agression russe en Ukraine et approuvé les orientations pour le budget 2025.

Les ministres de l'emploi et des affaires sociales, réunis le 11 mars, ont validé l'accord conclu en trilogue sur la directive relative aux travailleurs des plateformes. Le texte doit permettre la requalification en salariés de faux indépendants travaillant pour des services tels que Uber ou Deliveroo. Ils ont débattu de la mise en œuvre et approuvé les priorités politiques concernant le "socle européen des droits sociaux" dans le cadre du Semestre européen et du futur agenda social. Ils ont fait le point sur l'état d'avancement des directives relatives à la carte européenne du handicap et à la carte européenne de stationnement pour personnes handicapées.

Le 17 mars, la présidente de la Commission Ursula von der Leyen, accompagnée du Chancelier autrichien Karl Nehammer, du Premier ministre belge Alexander De Croo, du Président chypriote Kyriakos Christodoulides, du Premier ministre grec Mitsotakis et de la Première ministre italienne Giorgia Meloni, ont rencontré le président égyptien Abdel Fattah Al-Sissi. Cette visite a abouti à un partenariat avec à la clef des financements européens de l'ordre de 7,4 milliards € sur les quatre prochaines années. Cette initiative vise à soutenir l'économie égyptienne, notamment dans un contexte d'augmentation de la migration, et prévenir le risque d'une crise migratoire en provenance de la Palestine.

Le Conseil a adopté un mandat de négociation, le 12 mars, autorisant la Commission à négocier avec la Suisse, au nom de l'Union, de leur future relation . Ce mandat vise trois objectifs : réviser les accords existants sur le marché intérieur afin d'intégrer les nouveaux règlements en matière d'aides d'État et des dispositions institutionnelles prévoyant un alignement sur l'acquis communautaire; signer des accords sur la participation suisse aux programmes européens tel que Horizon Europe, ainsi que sur la contribution financière suisse à l'Union en raison de son accès au marché intérieur; et relancer les négociations afin de conclure des accords sur l'électricité, la sécurité alimentaire et la santé. Le 18 mars, la présidente de la Commission européenne Ursula Von der Leyen a reçu la présidente de la Confédération helvétique Viola Amherd afin d'ouvrir les négociations.

La Présidente de la Commission européenne, Ursula von der Leyen, s'est rendue aux Îles Féroé, le 14 mars, et au Groenland, le 15 mars, accompagnée de la Première ministre danoise, Mette Frederiksen. Elle a signé un mémorandum d'accord avec les îles Féroé pour une coopération renforcée, notamment pour la transition verte. Au Groenland, la Présidente a inauguré un bureau de l'Union à Nuuk, et signé des accords établissant une coopération en faveur de la croissance verte et des financements pour l'approvisionnement de l'Union en terres rares.

Le 11ème Conseil de l'énergie avec Etats-Unis s'est tenu le 15 mars à Washington. La rencontre a permis de reconnaître le travail important réalisé par la Task-Force pour sécuriser les approvisionnements européens en énergie et sortir de la dépendance aux combustibles fossiles russes. Le Conseil s'est également engagé à poursuivre la décarbonation des énergies, soulignant le besoin de sortir des énergies fossiles à l'horizon 2050. Le Conseil a également réaffirmé son soutien à l'Ukraine, décidé à protéger ses infrastructures en énergie dans le contexte de guerre avec la Russie.

Le 13 mars, le gouvernement danois a annoncé une augmentation de ses dépenses militaires de 5,4 milliards € d'ici 2028. Il dépasse ainsi en 2024 2% du PIB consacrés à la défense. La conscription sera également réformée avec une durée passant de 4 à 11 mois et une augmentation du nombre de conscrits à 5 000 annuels. Le Danemark rejoint en outre les rares pays à instaurer la conscription des femmes.

Le Congrès des députés espagnol a approuvé par 178 voix contre 172, le 14 mars, la loi d'amnistie concernant les séparatistes catalans pour leur tentative de sécession de la Catalogne en 2017. Cette loi, fruit d'un compromis entre le gouvernement et les partis indépendantistes, doit maintenant être votée par le Sénat.

Les quatre partis impliqués dans les négociations pour former un gouvernement aux Pays-Bas n'ont pas encore abouti. Les divergences avec le PVV, parti de Geert Wilders arrivé en tête, concernent la gestion des finances publiques, le climat, l'islam et l'Union européenne. Geert Wilders a annoncé le 13 mars qu'il renonçait au poste de Premier ministre. Les discussions vont se poursuivre entre les partis.

La ministre de la Culture, Martina Šimkovičová, a annoncé, le 12 mars, un projet de loi visant la suppression du radiodiffuseur public RTVS pour le remplacer par un nouvel organisme baptisé STaR, qui sera dirigé par des personnes directement nommées par le pouvoir politique. Ce projet de loi est vivement critiqué par l'opposition qui dénonce un tournant autocratique et s'inquiète pour la liberté de la presse.

Selon un sondage réalisé par Ipsos pour Denník N les 16 et 17 mars,, au premier tour de l'élection présidentielle le président du Conseil national de la République , Peter Pellegrini (Votes-SD), recueillerait 37,4 % des voix. Ivan Korčok le suivrait avec 36,6 %. Štefan Harabin serait en troisième position (11,3 %), suivi par Igor Matovič (4,3 %), Krisztián Forró (2,8 %), Ján Kubiš (2,4 %), Marian Kotleba (1,8 %) et Milan Náhlik (1,1 %). Les autres candidats n'obtiendraient pas 1%.

Le président français, Emmanuel Macron et le Premier ministre polonais, Donald Tusk se sont rendus à Berlin le 15 mars , où ils ont été reçus par le chancelier allemand, Olaf Scholz. Ensemble, ils ont déclaré leur intention de réunir plus d'armes pour l'Ukraine sur le marché mondial et de développer leur production d'armes en collaboration avec leurs partenaires ukrainiens. Ils ont annoncé la formation d'une nouvelle coalition pour l'artillerie à longue portée dans le cadre du format Ramstein. Ils ont affirmé leur volonté de renforcer l'aide à l'entrainement de l'armée ukrainienne et d'utiliser les fonds gelés russes pour financer la défense de l'Ukraine.

Les députés et sénateurs français ont voté, les 12 et 13 mars, l'accord de sécurité signé par Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky le 16 février. Avec 372 voix pour à l'Assemblée nationale et 293 au Sénat, le Parlement a largement approuvé le texte. Ce dernier prévoit une coopération renforcée entre Paris et Kiev pour les dix prochaines années, ainsi que le soutien de la France à l'intégration de l'Ukraine à l'Union européenne et à l'OTAN.

Le 14 mars, les députés européens ont voté en faveur de la proposition de la Commission visant à suspendre pour une année supplémentaire les droits d'importation et les quotas sur les exportations agricoles ukrainiennes vers l'Union jusqu'au 5 juin 2025. Cette législation permettra à la Commission de prendre des mesures plus rapidement pour protéger le marché européen en cas de perturbations importantes provenant des importations ukrainiennes. Dans un vote séparé, les députés ont également renouvelé la suspension des droits restants sur les importations en provenance de la Moldavie.

Dans un rapport publié le 15 mars, la commission d'enquête internationale indépendante sur l'Ukraine des Nations Unies a fait part de son inquiétude quant aux multiples violations des droits de l'Homme et du droit international humanitaire en Ukraine. La commission a trouvé de nouvelles preuves inculpant les autorités russes de crimes de guerre sur les civils ukrainiens, et s'inquiète notamment de l'utilisation continue d'explosifs dans les zones civiles. Elle condamne fermement ces agissements et rappelle la nécessité de juger les auteurs de ces actes.

Le 12 mars, le Conseil a prolongé de six mois les sanctions visant les individus et entités responsables d'actions compromettant la souveraineté et l'indépendance de l'Ukraine. Les sanctions, qui visent déjà plus de 2 100 individus et entités, comprennent des restrictions de déplacement pour ces individus, ainsi que le gel des avoirs financiers et l'interdiction d'accès aux ressources économiques, Le même jour, les députés européens ont approuvé la loi relative à la criminalisation des violations et des contournements des sanctions imposées par l'Union. Et le 13 mars, ils ont voté la proposition de directive relative au recouvrement et à la confiscation d'avoirs .

Le Parlement et le Conseil ont conclu le 14 mars un accord provisoire sur le règlement relatif à l'importation, à l'exportation et au transit d'armes à feu à usage civil. Pour ce faire, une surveillance accrue de toutes les importations et de la plupart des exportations d'armes à feu à usage civil sera réalisée. Le règlement établira un système de permis électroniques (ELS) européen qui viendra remplacer les systèmes nationaux actuels, qui pour la plupart, sont sous format papier.

Le 14 mars, le Secrétaire général, Jens Stoltenberg, a présenté le rapport annuel de l'organisation qui revient sur le renforcement de l'OTAN, du fait de son élargissement à la Finlande, en 2023, et à la Suède, en 2024, et au passage à 300 000 soldats de sa Force de réaction. Les dépenses militaires ont augmenté et devraient permettre aux deux-tiers des membres de l'Alliance de passer la barre de 2% du PIB consacré à la défense. L'OTAN a en outre augmenté sa production de munitions, avec le plan d'action sur la production pour la défense, et a inscrit dans la durée son soutien à l'Ukraine avec la création, en juillet, du Conseil OTAN-Ukraine, destiné à prendre des décisions sur les enjeux de sécurité communs aux pays de l'Alliance et à l'Ukraine.

Le 11 mars, l'Institut international de recherche sur la paix de Stockholm (SIPRI) a révélé que les États européens ont presque doublé leurs importations d'armes majeures entre 2014/2018 et 2019/2023. Les importations européennes provenant des États-Unis sont passées de 35 % à 55 % du total des importations. Les exportations américaines ont augmenté de 17 %, maintenant leur première place. La France devient le deuxième exportateur mondial avec une augmentation de 47 %, tandis que la Russie chute au troisième rang, ses exportations diminuant de 53 %.

L'exposition "Fallen Angels", d'Anselm Kiefer, se déroule du 22 mars au 21 juillet au Palais Strozzi à Florence. Cet artiste contemporain allemand, célèbre pour son exploration de l'identité allemande d'après-guerre, offre dans cette exposition une réflexion approfondie sur la condition humaine. Les œuvres exposées traitent des thèmes de l'identité, de la mémoire et de la philosophie tout en explorant le lien entre présent, passé et futur.

L'exposition "Obras maestras españolas de la Frick Collection" se tient jusqu'au 2 juillet au Museo Nacional del Prado à Madrid. Elle met en lumière neuf œuvres de maîtres de la peinture, parmi lesquels Le Greco, Velázquez, Goya et Murillo. Ces pièces exceptionnelles, habituellement exposées à New York, font leur retour en Espagne pour la première fois en 100 ans.

Jusqu'au 19 mai, le musée national de Wrocław, en Pologne, présente "Impressions. The Young on Old Art". L'exposition tente de mettre en lumière les rêves et les sentiments des jeunes et ce qu'ils cherchent dans l'art du passé.

L'exposition "All Dreams Are Vexing", de Malvina Panagiotidi, se tient au musée d'Art Contemporain d'Athènes jusqu'au 2 juin. L'artiste grecque s'inspire de sa propre expérience dans la résidence où la célèbre peintre grecque Eleni Boukoura-Altamoura a vécu après la mort tragique de ses enfants. Cette exposition explore l'occultisme moderne, le pouvoir de l'imagination et le symbolisme de cette demeure, à la fois refuge et prison.

Jusqu'au 14 juillet, la galerie nationale de Slovénie, à Ljubljana, expose "The Kroples Art Collection". Cette collection privée, qui mêle symbolisme, expressionnisme et nouvelle objectivité. Exposant 30 artistes locaux, le musée offre la possibilité de découvrir les aspects quotidiens, les paysages et les mythes de la Slovénie de la seconde moitié du XIXe siècle et du XX0e siècle.

Le musée national Picasso à Paris présente sa collection jusqu'en mars 2027. Issue des ateliers de l'artiste, la collection exposée est la plus importante collection publique d'œuvres de Picasso. Véritable rétrospective de la vie de l'artiste, l'exposition interroge sur le style de ce dernier. Entre cubisme et symbolisme, classicisme et surréalisme ou figuratif et politique, les œuvres présentées laissent aux spectateurs la liberté de les interpréter à leur façon.

L'exposition "Histoire de ne pas rire. Le surréalisme en Belgique" se tient jusqu'au 16 juin au Bozar, à Bruxelles. Le musée célèbre le centenaire du courant artistique belge surréaliste, dévoilant les œuvres dans leur contexte historico-politique. Sont exposées les œuvres des peintres les plus connus, comme René Magritte, Paul Delvaux ou Max Ernst.

L'exposition "Portraits to Dream In" de Francesca Woodman et Julia Margaret Cameron se tient du 21 mars au 16 juin à la National Portrait Gallery de Londres. Un siècle sépare les deux photographes : Cameron a vécu dans les années 1860 au Royaume-Uni et au Sri Lanka, et Woodman dans les années 1970 aux États-Unis et en Italie. Mais elles partagent une approche du portrait qui va au-delà de la simple capture de l'apparence et qui explore les concepts d'identité, de genre et de beauté.