4,8 millions d'Azéris sont appelés aux urnes le 7 novembre prochain pour renouveler les 125 membres du Milli Majlis, Chambre unique du Parlement. Les députés sont élus tous les 5 ans au scrutin majoritaire à un tour. 5 partis politiques y sont représentés : le Parti du nouvel Azerbaïdjan (YAP), du Président Ilham Aliev, compte 61 sièges ; Azadliq (A), 5 députés ; le Parti de la solidarité civile (VHP) 3 députés ; le parti de la patrie, 2 sièges et le Parti du front populaire (AXCP), 1 élu. Y siège aussi 53 indépendants. En novembre 2005, le scrutin avait été entaché d'irrégularités. Les observateurs internationaux seront cette année encore très vigilants pour vérifier le bon dérouelement démocratique du scrutin.

Giulio Tremonti, ministre italien de l'Economie, a confirmé le 5 octobre que les objectifs du pays concernant la réduction du déficit public seraient tenus cette année. Le déficit italien a connu une baisse de 3% cette année, et s'est établi à 5%, contre 5,3% en 2009. Le programme d'austérité budgétaire italien de 25 milliards € adopté fin juillet par le Parlement, prévoit que le déficit diminue à 3,9% en 2011, et à 2,7% en 2012, repassant ainsi sous la barre des 3% du PIB imposée par le pacte de stabilité et de croissance.

L'Union européenne et la Corée du Sud ont signé le 6 octobre à Bruxelles un accord bilatéral de libre-échange d'une ampleur sans précédent, le premier de ce type entre l'Europe et Asie. Cet accord prévoit une libéralisation progressive, par les deux parties, du commerce de marchandises et de services et comprend des règles concernant des questions liées au commerce, comme la concurrence et les aides d'État, la propriété intellectuelle et les marchés publics. La Corée du Sud est le huitième partenaire commercial de l'UE et celle-ci est le deuxième partenaire de la Corée en ce qui concerne les exportations. L'accord, qui devrait s'appliquer à partir de juillet 2011, doit permettre la suppression de droits de douane. Pour les exportations de l'UE vers la Corée du Sud, cela représenterait 1,6 milliard € par an.

La Commission européenne a détaillé le 6 octobre une des initiatives phares de la stratégie Europe 2020 annoncé en mars dernier : l'"Union de l'innovation". Cette approche stratégique de l'innovation permettra au secteur public d'intervenir pour stimuler le secteur privé et pour lever plusieurs obstacles tels que le manque de financement, le morcellement des systèmes de recherche et du marché, la sous-utilisation des marchés publics pour l'innovation et la lenteur des travaux de normalisation. Selon une étude récente, atteindre l'objectif d'Europe 2020 consistant à porter les investissements en R&D à 3 % du PIB permettrait de créer 3,7 millions d'emplois et d'augmenter le PIB annuel de 795 milliards € d'ici 2025. Pour ce faire, l'UE aurait besoin d'un million de chercheurs supplémentaires.

Le 7 octobre, les députés européens ont voté par 568 voix, contre 47 et 21 abstentions, en faveur de la levée de l'obligation des visas pour l'Albanie et la Bosnie-Herzégovine. Le vote doit être confirmé par les 27 Etats membres de l'Union. Le Premier ministre albanais, Sali Berisha, a parlé d'un jour historique pour l'Albanie et les Albanais, "en train de réaliser le rêve de pouvoir voyager librement dans l'espace Schengen". Le ministre bosnien des Affaires étrangères, Sven Alkalaj, a salué la décision du Parlement européen, en déclarant que la levée représenterait le premier bénéfice concret du processus d'intégration européenne pour les citoyens bosniens, et donnerait une impulsion à l'idée de l'Europe dans le pays.

Les 27 ministres européens de l'Intérieur et de la Justice, réunis les 7 et 8 octobre, ont évoqué les sujets suivants : le Système européen commun d'asile, le développement du Système d'Information Schengen II (SIS II) et du Système d'information sur les visas (VIS), ainsi que le droit d'information, d'interprétation et de traduction en procédure pénale.

Le 5 octobre, la chancelière allemande Angela Merkel a rencontré le Premier ministre chinois Wen Jiabao en Allemagne. Les deux chefs de gouvernement ont affirmé qu'ils souhaitaient renforcer leurs relations économiques ainsi que la coordination des politiques macro-économiques. Par ailleurs, ils ont déclaré qu'ils rejetaient le protectionnisme concernant le commerce et les investissements. A propos de la préparation du G20 à Séoul, ils ont abordé le sujet de la gestion de la crise économique et financière internationale.

Lors d'une visite officielle de trois jours en Turquie, le ministre autrichien des Affaires étrangères, Michael Spindelegger, a été accueilli le 6 octobre à Istanbul par le président turc Abdullah Gül. Bien que la visite se soit concentrée sur les relations commerciales turco-autrichiennes, ils se sont exprimés sur les difficiles négociations d'adhésion de la Turquie à l'Union européenne. M. Spindelegger a précisé que l'Autriche ne "freinait" pas le processus d'adhésion de la Turquie et laissait entrevoir un "avenir commun" des deux pays, pendant que M. Gül a souligné l'importance économique de son pays pour l'Autriche. Cette dernière reste tout de même sceptique quant à l'adhésion de la Turquie à l'Union européenne. Elle se trouve parmi plusieurs pays européens qui se sont opposés dès 2005 à une telle adhésion, évoquant parfois la possibilité d'un "partenariat privilégié" entre l'Union et la Turquie.

Le roi des Belges Albert II a demandé le 5 octobre au Premier ministre sortant, Yves Leterme, de "faire le maximum" pour l'économie du pays, au lendemain de l'échec des négociations pour la formation d'un nouveau gouvernement. Les présidents de la Chambre et du Sénat, ayant fait leur rapport sur leur mission de médiation, ont demandé au Roi d'être déchargés de leur mission. Le Roi a accepté cette demande. Le 8 octobre, le Souverain belge a demandé à Bart de Wever, président de la N-VA, de mener une mission de clarification de dix jours avec les sept partis qui étaient autour de la table pour rapprocher les points de vue. D'ici là, le gouvernement d'Yves leterme a approuvé le 8 octobre un projet de circulaire consacré à la préparation d'un projet de loi de finances pour 2011. La loi de finances 2011 prévoit des crédits provisoires à raison de trois douzièmes pour les services de l'Etat fédéral pour janvier, février et mars 2011.

Dans son discours d'ouverture de la session parlementaire le 5 octobre, le Premier ministre danois, Lars Løkke Rasmussen, a affirmé que l'objectif de son gouvernement était de parvenir à l'indépendance du Danemark par rapport au pétrole, gaz et charbon en 2050. Au sein de l'Union européenne, le Danemark veut également "oeuvrer pour que l'UE respecte son objectif de réduire les émissions de CO2 de 30% en 2020", quelles que soient "les retombées des négociations climatiques" actuelles au niveau mondial. Par ailleurs, il a abordé le sujet de l'Etat-providence et il a confirmé son souhait de retirer les troupes danoises présentes en Afghanistan jusqu'en 2014.

Le Premier ministre ukrainien, Mykola Azarov, s'est rendu en Finlande le 6 octobre où il a discuté avec la Premier ministre Mari Kiviniemi des relations bilatérales entre les deux pays, de la situation économique, de la politique énergétique ainsi que du rapprochement de l'Ukraine avec l'Union européenne.

Le Grand Prix de l'impertinence 2011 du Cercle des Entrepreneurs du Futur a été lancé le 22 septembre au CNAM. Il consiste en l'appel à communications sur les actions et réflexions innovantes en relation avec le développement durable, l'entrepreneuriat, le développement des territoires et les services. Depuis 2010, "Entrepreneurs du Futur" est un programme de la Fondation Prospective et Innovation. Il a pour principal objectif de penser et agir autrement en contribuant à la société de la connaissance, et en soutenant l'entrepreneuriat ainsi que les initiatives locales de développement.

A l'occasion de sa visite en Grèce les 2 et 3 octobre, le Premier ministre chinois Wen Jiabao et son homologue grec George Papandréou ont signé treize accords. Pékin a manifesté sa volonté de contribuer à l'effort commun pour surmonter la crise en achetant des obligations grecques. Wen Jiabao a qualifié la Grèce de partenaire le plus crédible de la Chine dans l'UE. La Chine est disposée à doubler les importations de produits grecs et à encourager la Grèce à élargir son commerce vers la Chine, afin que les échanges commerciaux se développent de manière équilibrée et viable. "Au cours des cinq prochaines années, le volume du commerce doublera à 8 milliards $", a affirmé Wen Jiabao, informant de la volonté de la Chine de créer un Fonds de développement gréco-chinois doté de 5 milliards $ dans le but de promouvoir la coopération sur le transport maritime entre les deux pays.

La Hongrie, frappée par un grave accident industriel chimique qui a commencé à affecter l'écosystème de la branche principale du Danube, a officiellement demandé le 7 octobre l'aide de la protection civile européenne, a annoncé la Commission européenne dans un communiqué. Les autorités hongroises ont demandé l'envoi de "trois à cinq experts" spécialisés dans le domaine des boues toxiques, de la décontamination et de l'environnement. Le mécanisme européen de protection civile, auquel participent 31 Etats (UE-27 plus la Croatie, l'Islande, le Lichtenstein et la Norvège), facilite la coopération en matière de réaction aux catastrophes.

Le 7 octobre, le Premier ministre chinois, Wen Jiabao, a rendu visite au président italien, Giorgio Napolitano, et au Président du Conseil italien , Silvio Berlusconi. Le dialogue s'est concentré sur les excellentes relations entre l'Union européenne et la Chine au lendemain de la réunion UE/ASEM à Bruxelles. Au cours de la visite, des entreprises italiennes et chinoises ont signé plusieurs accords commerciaux pour 2,25 milliards €.

L'association de droit luxembourgeois "Le Cercle des Amis de Colpach" organise tous les quatre ans en collaboration étroite avec le groupe ArcelorMittal et sous le haut patronage du ministre de la Culture du Grand-Duché de Luxembourg un concours pour l'attribution du prix Émile et Aline Mayrisch. Ce prix a pour objectif de promouvoir l'ouverture aux courants culturels et la promotion de l'entente entre les peuples européens. Les travaux présentés au concours porteront sur des recherches dans les domaines de l'histoire, de la politique, de l'économie, de la vie sociale et/ou de la culture dans l'espace franco-germano-belgo-luxembourgeois.

Le leader du parti libéral, Mark Rutte, a été chargé le 7 octobre, par la reine Beatrix des Pays-Bas de former le nouveau gouvernement néerlandais. Il s'agira du premier gouvernement minoritaire aux Pays-Bas depuis la Seconde Guerre mondiale puisque les libéraux du VVD, arrivés en tête, et les chrétiens-démocrates (CDA) ont obtenu un total de 52 sièges sur 150 aux élections législatives du 12 juin dernier. M. Rutte a indiqué qu'il espérait présenter son gouvernement le 14 octobre, précisant que le VVD et le parti CDA détiendront chacun six ministères et quatre secrétariats d'Etat. Un accord sur une coalition gouvernementale minoritaire entre les deux partis soutenues par le Parti pour la liberté (PVV) de Geert Wilders, a été conclu le 28 septembre. Geert Wilders s'est engagé à soutenir le nouvel exécutif au Parlement. Il a obtenu en échange de participer à l'élaboration du programme du futur gouvernement.

Lors d'une rencontre le 1er octobre à Yalta entre Bronislaw Komorowski et Viktor Ianoukovitch, respectivement président de la Pologne et de l'Ukraine, M. Komorowski a affirmé qu'il soutiendrait les efforts ukrainiens d'adhésion à l'Union européenne. Le président polonais a également invité M. Ianoukovitch à lancer le plus tôt possible des réformes pour préparer l'Ukraine à l'intégration européenne. A cet effet, M. Komorowski espère pouvoir "partager" les expériences qu'avait faites jadis la Pologne dans ses préparations à l'adhésion à l'Union. M. Ianoukovitch a proposé, de son côté, de s'associer à la Pologne sur les questions d'approvisionnement en énergie, notamment concernant les futurs projets de transfert de gaz naturel à travers l'Europe.

Le 5 octobre, la République portugaise a célébré le centenaire de sa naissance avec des milliers de commémorations dans tout le pays. Dans son discours prononcé lors de la cérémonie officielle, le président portugais, Anibal Cavaco Silva, a déclaré qu'un engagement politique en faveur de la cohésion nationale s'imposait, "un engagement par lequel les différents partis saisissent la gravité du temps présent".

Le Premier ministre britannique David Cameron a défendu le 6 octobre une austérité draconienne, mais "juste", après une vive polémique sur l'abolition des allocations familiales universelles, au dernier jour du congrès du parti conservateur à Birmingham. "Réduire les dépenses va être difficile. Des programmes vont être coupés. Des emplois vont être perdus. Mais beaucoup d'entreprises ont dû faire des économies équivalentes ou plus importantes ces dernières années", a t-il déclaré. Avec des accents à la Winston Churchill, qui avait regretté en mai 1940 de n'avoir "rien d'autre à offrir que du sang, des larmes et de la sueur", M. Cameron a martelé qu'il n'y avait pas d'autre option "responsable" que celle de l'austérité. "Cette année, nous allons dépenser 43 milliards £(49 milliards €) pour le seul paiement des intérêts de la dette", a-t-il rappelé.

Le président de la Slovaquie, Ivan Gasparovic, s'est rendu du 5 au 8 octobre en Ukraine où il a été reçu par son homologue ukrainien Viktor Ianoukovich. Le président ukrainien a promis d'intensifier la lutte contre la corruption en Ukraine afin d'attirer des investisseurs slovaques ; il a ainsi proposé de lancer des réformes dans son pays pour combattre la corruption et encourager le commerce entre la Slovaquie et l'Ukraine. M. Gasparovic a assisté le 6 octobre au forum économique ukrainien de Kiev.

Le Premier ministre suédois, Fredrik Reinfeldt, a présenté le 5 octobre son nouveau gouvernement. 7 nouveaux ministres ont été nommés au sein d'un gouvernement qui passe de 22 à 24 membres, dont 11 femmes. M. Reinfeldt a répété qu'il ne négocierait pas avec les Démocrates suédois (extreme droite), sans pour autant parvenir à obtenir l'appui des verts ni des sociaux-démocrates. Il s'agit donc d'un gouvernement minoritaire.

Les forces modérées ont gagné du terrain chez les Musulmans de Bosnie aux élections du 3 octobre dernier, mais les Serbes de Bosnie ont confirmé leur préférence pour leur dirigeant Milorad Dodik, hostile à tout renforcement de l'Etat central bosnien. Bakir Izetbegovic, qui a plaidé pendant la campagne électorale en faveur du dialogue avec les Serbes de Bosnie, est arrivé en tête pour devenir le membre musulman de la présidence collégiale du pays. Fils de l'ancien président Alija Izetbegovic, il sera le seul nouveau représentant à la présidence collégiale de Bosnie, les 2 candidats sortants, croate et serbe, étant en tête de leur collège.

Le comité Nobel a attribué le prix nobel de médecine au physiologiste britannique, Robert G. Edwards, pour la mise au point de la fécondation in vitro (FIV). Le prix Nobel d'économie a été remis à deux Américains, Peter Diamond et Dale Mortensen, et au Britannique, Christopher Pissarides. Enfin, le prix Nobel de la paix a été attribué au dissident chinois, Liu Xiaobo, condamné en 2008 à 11 ans de prison dans son pays pour "subversion du pouvoir de l'Etat" après avoir été l'un des auteurs de la Charte 08, un texte réclamant une Chine démocratique.

Le président russe, Dmitri Medvedev, a été accueilli le 7 octobre à Nicosie par son homologue chypriote Demetris Christofias. Ils s'agit de la première visite d'un chef d'Etat russe à Chypre. Ils ont signé plusieurs accords, concernant les relations commerciales entre les deux pays. M. Christofias a promis sa coopération dans l'optimisation de la taxation off-shore des entreprises russes, dont un bon nombre s'évade à Chypre pour éviter des prélèvements fiscaux en Russie. M. Medvedev a affirmé en contrepartie qu'il soutiendrait les efforts du président chypriote pour réunifier Chypre, divisée depuis 1974.

A l'occasion d'une conférence de presse le 4 octobre à Sofia les Premier ministres bulgare, Boyko Borissov, et turc, Recep Tayyip Erdogan, ont évoqué la reprise des échanges commerciaux en matière d'énergie. Le Premier ministre turc a réaffirmé la volonté de son pays d'adhérer à l'Union européenne, tout en déplorant un traitement qu'il juge inéquitable.

Lors d'un sommet économique interrégional le 4 octobre à Gelendzhik en Russie, le président de la Russie, Dmitri Medvedev, et le président de l'Ukraine, Viktor Ianoukovich, ont laissé entrevoir plus de coopération commerciale et industrielle entre les deux pays. Selon M. Medvedev, il s'agit d'améliorer l'infrastructure russo-ukrainienne pour faciliter les échanges de biens et la circulation dans la région en matière d'énergie et d'environnement.

A l'occasion du 60e anniversaire de l'adhésion de l'Allemagne au Conseil de l'Europe, le ministre allemand des Affaires étrangères, Guido Westerwelle, a effectué le 4 octobre, sa première visite au siège de l'organisation à Strasbourg. Devant l'Assemblée parlementaire du Conseil de l'Europe, il a salué "l'esprit de réconciliation" et le "crédit de confiance pour un nouveau départ" dont avait bénéficié l'Allemagne cinq ans seulement après la fin de la Seconde Guerre mondiale. Il a également affirmé que "le système des droits de l'homme du Conseil de l'Europe avait atteint sur notre continent un niveau de protection sans égal". Il a plaidé en faveur de l'adhésion de l'UE à la Convention européenne des droits de l'homme.

Confirmant sa première estimation, Eurostat a fait savoir le 6 octobre que le PIB de la zone euro et de l'UE ont augmenté de 1% au deuxième trimestre 2010 par rapport au trimestre précédent. Au cours du premier trimestre 2010, le taux de croissance s'était établi à 0,3% dans la zone euro et à 0,4% dans l'UE. Au second trimestre 2010, la Lituanie (3,2%) a enregistré le plus fort taux de croissance par rapport au trimestre précédent, suivie de l'Allemagne (2,2%) ainsi que de l'Estonie, la Finlande et la Suède (1,9% chacun).

La fondation Heinrich Böll présente une nouvelle étude, intitulée "Can Europe rise to the Challenge? EU Policy Responses to the Global Crisis".

Le 4 octobre, la Société allemande de Politique étrangère (DGAP) a publié un ouvrage, sous la direction de Claire Demesmay et Katrin Sold, intitulé "Frankreich-Themen 2010" qui s'intéresse entre autres aux réactions de la France face à la crise économique et financière internationale, et à ses relations avec les grands acteurs internationaux.

Le 54e London Film Festival (LFF) aura lieu du 13 au 28 octobre. Il propose les nouveautés du cinéma mondial, tous genres confondus.