Alors que Donald Trump va prendre ses fonctions le 20 janvier, la Fondation publie une analyse de sa vision de la politique internationale qui peut être divisée en trois axes. Il est contre le libre-échange sous sa forme actuelle, il est convaincu que les États-Unis ont conclu de "mauvais accords" avec leurs alliés et il croit qu'il pourrait obtenir de "meilleurs accords" par des négociations bilatérales auprès des personnalités autoritaires, comme le président russe, plutôt que par la coopération avec des alliés démocratiques ou des organisations multilatérales, comme l'OTAN ou l'Union européenne. Ces positions constituent une menace. C'est pourquoi il est essentiel que l'Union européenne et ses États membres réagissent fermement afin d'éviter le scénario du pire.